Le réseau tellurique

La Terre, notre planète est loin d’être un globe inerte. Notre Terre est active et vit ! Une partie de cette activité est visible : le sol tremble, les volcans entrent en éruption, la boussole indique le Nord, la marée alterne flux et reflux. La terre présente également une autre activité moins visible véhiculée par la nature du sous-sol, qui comprend notamment les failles, les zones de failles et les courants d’eau.

Nuisances naturelles et pollution

Lorsqu’un bâtiment se trouve sur une zone de faille, il subit :

  • un dégagement de différents gaz : radon, thoron, CO2, CH4, H, He… dont certains, comme le radon, sont nocifs;
  • des émissions d’ondes électromagnétiques pulsées à basse fréquence (de quelques hertz à plusieurs kilohertz);
  • de faibles mouvements du sol qui peuvent provoquer de petites fissures.

Ce sont là des phénomènes naturels qui existent depuis l’origine de la Terre.

Nuisances technologiques

Au delà de ces nuisances naturelles se sont développées, des perturbations électromagnétiques directement liées à l’activité humaine et à l’accroissement de l’utilisation des technologies. Ainsi, les êtres vivants reçoivent une nouvelle forme de pollution, qui peut-être véhiculée par les phénomènes naturels du sous-sol : les perturbations liées à un pylône haute tension ou à une antenne-relais GSM sont véhiculées par le réseau tellurique.
La propagation de ces énergies négatives sera donc influencée par la géologie: croisement de failles, circulation de l’eau, nature des roches, par la forme des pylônes (particulièrement leur hauteur), par l’emplacement des mises à la terre et par la puissance des émetteurs et les fréquences concernées. Le cumul de ces facteurs entraîne une augmentation des perturbations.
Cette forme de pollution, propagée par les failles du sol, constitue un phénomène relativement nouveau qui est lié à la saturation du sol. Jusqu’à présent la terre pouvait absorber une certaine dose de rayonnement électromagnétique, ces perturbations étaient alors sans effet ou de moindre incidence.

Mais depuis que notre planète est saturée de produits chimiques, bombardée de rayonnements divers de toute part, elle n’a plus la capacité de les absorber. Ces champs « courent » alors le long des lignes de faille et de cours d’eau.